Chapelet du jour
MYSTERE DOULOUREUX
chapelet du mardi et du Vendredi
Les cinq mystères douloureux présentés par HOZANA
L’agonie de Jésus
« Il disait : « Abba… Père, tout est possible pour toi. Éloigne de moi cette coupe. Cependant, non pas ce que moi, je veux, mais ce que toi, tu veux ! » (saint Marc. 14 ; 36)
le regret de nos péchés. C’est pour le salut des hommes et pour racheter nos péchés que Jésus s’offre. Malgré l’angoisse qui le saisit, il obéit à la volonté du Père et rachète ainsi la désobéissance originelle qui pèse sur nous.
La flagellation
« Pilate, voulant contenter la foule, relâcha Barabbas et, après avoir fait flageller Jésus, il le livra pour qu’il soit crucifié. » (saint Marc. 15 ; 15)
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Fruit de ce mystère : La maîtrise des sens. Nous sommes invités à comprendre et à maîtriser ce qui peut nous pousser au péché. Faisons attention à ce que nous voyons, ce que nous écoutons, ce vers quoi nous poussent parfois nos désirs humains.
« Jésus cruellement flagellé pour nos péchés de sensualité et d’impureté, nous te louons, nous te bénissons et nous t’adorons ».
Clausule aux Je vous salue Marie : « Et Jésus le fruit de ton sein cruellement flagellé est béni »
« Grâces de la flagellation de Jésus, descendez en mon âme et rendez-la vraiment mortifiée. »
Le couronnement d’épines
« Les soldats tressèrent avec des épines une couronne qu’ils lui posèrent sur la tête ; puis ils le revêtirent d’un manteau pourpre. » (saint Jean. 19 ; 02)
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Fruit de ce mystère : L’humilité et le pardon de nos péchés d’orgueil. Comme nos sens peuvent nous conduire au péché, notre esprit le peut également. L’orgueil est notamment source de bien des maux de notre humanité que Jésus assume pour nous via ce couronnement d’épines.
« Jésus couronné d’épines et outragé, nous te louons, nous te bénissons et nous t’adorons ».
Clausule aux Je vous salue Marie : « Et Jésus le fruit de ton sein couronné d’épines et outragé est béni »
« Grâces du mystère du couronnement d'épines de Jésus, descendez en mon âme et rendez-la vraiment contraire au monde. »
Le portement de la croix
« Et lui-même, portant sa croix, sortit en direction du lieu dit Le Crâne (ou Calvaire), qui se dit en hébreu Golgotha. » (saint Jean. 19 ; 17)
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Fruit de ce mystère : La patience dans les épreuves. Jésus souffre, traverse cette épreuve entièrement, totalement et c’est ainsi qu’au fond de nos souffrances, de nos épreuves, c’est Jésus que nous pouvons trouver. Elles ne nous éloignent pas de lui : il s’y trouve déjà pour nous porter si nous le voulons.
« Jésus portant sa croix et marchant vers le Golgotha, nous te louons, nous te bénissons et nous t’adorons ».
Clausule aux Je vous salue Marie : « Et Jésus le fruit de ton sein qui porta sa croix jusqu’au Golgotha est béni »
« Grâces du mystère du portement de Croix, descendez en mon âme et rendez-la vraiment patiente. »
Le crucifiement et la mort de Jésus sur la croix
« Vers trois heures de l'après-midi, Jésus s'écria d'une voix forte: «Eli, Eli, lama sabachthani ? » - c'est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? », « Jésus poussa de nouveau un grand cri et rendit l'esprit. » (saint Matthieu. 27 ; 46, 50
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Fruit de ce mystère : La soif du salut des âmes. Grâce à Jésus, la croix n’est plus symbole de condamnation et de souffrance mais le symbole du salut et de la joie d’être sauvé.
« Jésus est cloué et mort sur la croix ; Jésus au coeur transpercé, nous te louons, nous te bénissons et nous t’adorons ».
Clausule aux Je vous salue Marie : « Et Jésus le fruit de ton sein cloué et mort sur la croix est béni »
« Grâces du mystère de la mort et passion de Jésus Christ, descendez en mon âme et rendez-la vraiment sainte. »